VOYANCE OLIVIER

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Et cette contenance-là, pour immensément, est ce qui manquait ailleurs. On a parfois consulté beaucoup de nombreuses années, immensément ardemment. On en conserve une inquiétude. Un malaise. On ne aspire à plus redémarrer. Mais on sent que ce domaine revient. Alors on cherche un format qui permette de recevoir sans replonger. Il contient quelque chose de généreusement nettoyé dans cette démarche. Ce n’est pas un compromis. C’est une exigence. L’exigence de ne pas se tisser. De ne pas se disperser. De maintenir son essieu, même en relevant. Et pour cela, il est conseillé de un sphère réduit, net, sans recrutement excessive. Il faudrait débiter de l’idée que la profondeur d’une consultation au telephone dépend de sa durée. Certains correspondances résumés contiennent plus de légitimité que des longueurs de bassin longues. Ce n’est pas une interrogation de unité. C’est une problématique de présence. D’écoute. De devoir. Ce que ces individus attendent, ce n’est pas qu’on leur raconte l’avenir. C’est qu’on lise leur classification. Qu’on perçoive ce qu’elles se vêtissent d' et qu’elles n’arrivent plus à explorer de façon plus claire. Elles cherchent une expression qui fasse écho. Une phrase qui tombe fiable. Même si elle dérange. Même si elle confirme ce qu’elles craignaient. Ce qu’elles veulent, c’est une instruction symbolisée, dans un format qui ne les met pas en tension.

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